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Editions Bénévent, ISBN : 978-2-7563-1327-6
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Présentation de l’ouvrage:
Le présent ouvrage a été commencé en même temps qu’était terminé : Le capitalisme n’existe
pas, précédent ouvrage publié par l’auteur.
Partant du principe que nous jouons tous un rôle dans l’économie, Marc Chaigneau s’attache à
présenter les outils du monde de la finance. De différents niveaux, différents enjeux, ils se nomment
banques, fonds de placements, institutions, régulateurs mais aussi ministères, administrations ou même,
états.
Cette crise, qui doit nous faire prendre conscience de l’équilibre précaire dans lequel s’interinfluencent
ces outils, s’est manifestée d’abord (et peut-être principalement), par l’effondrement des
cours boursiers d’établissements financiers détenant des « créances pourries » sur des débiteurs de
crédits immobiliers aux États Unis d’Amérique, devenus insolvables. Chacun jouant son rôle, nous
pouvons avoir un impact positif tout autant que négatif sur la finance mondiale. C’est pour cela
qu’il convient de remettre en question les tentatives d’explications simplistes des mécanismes de
cette crise. Les dirigeants des banques et établissements financiers, les hommes politiques, les
journalistes, les spécialistes de la finance et de l’économie, ont préféré désigner des boucs émissaires :
le capitalisme « sauvage », « l’ultra-libéralisme ».
De nombreux écrits ont été publiés sur le sujet. L’auteur s’est attaché à sélectionner ceux qui lui
semblaient relever d’une vision contributive et non prophétique ou dogmatique (comme ce fut
malheureusement trop souvent le cas) pour en tirer ses propres conclusions. A l’heure où il devient de
plus en plus difficile de faire croire qu’il suffit de renflouer le système pour résoudre cette crise, l’oeuvre
de Marc Chaigneau nous guide vers les solutions aux problèmes posés par la crise actuelle.
Alors que certains nous promettent l’apocalypse, si nos gouvernements ne prennent pas les
mesures nécessaires, l’auteur, lui, ne se contente pas d’attendre et nous propose d’arrêter de
compter sur les autres pour résoudre les problèmes puisque donner du pouvoir, c’est aliéner sa
liberté.
Crise financière ? Mais qu’est-ce que la finance ? À quoi, à qui sert-elle ?
D’où vient cette crise ? Comment, par qui, pourquoi a-t-elle été provoquée ?
Quelles seront ses conséquences ? Pour qui ? Quelles mesures ont-elles été prises ? Pourquoi ? Quels
effets auront-elles ?
Qui peut dire qu’il n’est pour rien dans l’état de la société ? Quels sont ceux qui ont refusé que l’argent
gouverne leur vie ? Si des centaines de millions, voire des milliards d’individus ont participé à causer
cette crise, est-il crédible que quelques gouvernants « super-héros » puissent tout résoudre ?
Nombreux sont ceux qui racontent cette crise, qui l’expliquent, pour certains qui donnent des conseils
aux gouvernants. Ne serait-il pas temps pour chacun d’essayer de prendre son destin en main? De
s’occuper de ses finances et de ne plus compter sur les « spécialistes » au vu de ce qu’ils ont réussi?
Marc-Albert Chaigneau, ancien avocat d’affaires, cherche des réponses à ces questions.
Se défiant de la « pensée unique », mettant en cause les fondements de notre société qui ne sont ni la
liberté, ni l’égalité et encore moins la fraternité.
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